Mercredi, janvier 19th, 2011 | Author: Pierre

Voici un petit montage de courtes ballades crépusculaires vécues entre décembre et janvier, sur une musique de Joe Hisaichi.

Ressourcement entre la nature omniprésente et ses excroissances humaines, lorsque l’activité extérieure ne s’est pas encore déployée ou bien se résorbe…

Lumières nocturnes, îlots de fragilité, où la vulnérabilité de notre présence au monde se le dispute à sa grâce…

Regard émerveillé d’enfance, toujours en quête de sens

Intimité partagée et pourtant incommunicable

Miroir d’un regard dans la multiplicité de ses formes, singulier et universel

Dire merci à la mélodie de ces présences qui dissolvent l’orgueil, qui rayonnent de potentialités…

Silence des mouvements et regards saturés d’espace

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