Résumé : Notre conception obsolète de la monnaie doit être mise à jour. Initiatives concrètes et perspectives nouvelles pour mettre l’économie au service de tous les hommes. Présentation de l’éditeur : On avait oublié que la fonction de l’argent est de circuler. Il n’est que le symbole de la valeur des biens ou services qui s’échangent. Comme le sang dans notre corps. Aujourd’hui, la monnaie est raréfiée volontairement car elle est devenue un objet spéculatif. Avec pour effet de concentrer la richesse sur quelques uns et d’appauvrir le plus grand nombre. Comment inverser cette tendance. De plus en plus de femmes et hommes de conscience, de disciplines et d’origines multiples, se penchent sur la recherche de solutions à ce problème crucial pour l’avenir du monde. Ils se sont réunis à Paris en mars 1996 pour confronter leurs points de vue et l’état de leur réflexions. Des solutions existent, des alternatives sont expérimentées ça et là, tels les Systèmes d’Echanges Locaux (S.E.L.), des idées germent. Elles demandent toutes un courage politique. Mais c’est peut-être à nous, simples citoyens, de les mettre en oeuvre dès aujourd’hui, dans nos quoditien et environnement proches, pour pouvoir les exiger de ceux qui nous gouvernent et nous représentent à grande échelle. Vous serez surpris de la complémentarité des points de vue de l’oriental Sogyal Rimpoché ou de l’occidental Jean-Louis Servan-Schreiber. Vous serez fascinés par les récits d’expérience de monnaies alternatives ou de systèmes d’échanges locaux, les témoignages de chefs d’entreprises et de banquiers qui se veulent socialement responsables. Vous vous réjouirez de savoir tout ce qui se fait déjà, de découvrir les adresses et références indispensables. Et surtout, vous aurez envie de rencontrer ces gens passionnés, orientés vers une même recherche. Celle d’un monde plus humain, au service de l’humain. Un concept à faire circuler d’urgence.
Résumé : Présentation des principaux termes et notions utilisés par Hayek dans son oeuvre qui se caractérise par la défense d’un libéralisme individualiste qui constitue, selon lui, le seul vrai humanisme. Chaque notion est abordée sur plusieurs niveaux : définition de base, approche scientifique et approche plus libre permettant une compréhension plus large. Présentation de l’éditeur : «Le vocabulaire de…» présente les principaux termes dans lesquels s’exprime chaque philosophe, selon un ordre alphabétique, en partant du principe qu’un philosophe n’est intelligible que dans sa langue, dans son vocabulaire propre ou dans le vocabulaire commun qu’il s’approprie. L’approche de chaque notion comporte trois niveaux qui sont signalés dans le texte par des astérisques (*) : la définition de base, accessible à un étudiant débutant ; l’approche scientifique, s’adressant à l’étudiant confirmé, et ce jusqu’à l’Agrégation ; et enfin, une approche plus libre, permettant une interprétation plus large, comme par exemple la résonance de la notion au sein du système. Chacun des volumes de la collection «Le vocabulaire de…» devrait constituer une voie d’accès privilégiée à la lecture et à l’intelligence d’un système philosophique. Présentation de l’auteur : Économiste reconnu, Friedrich-August Hayek (1899-1992) est un acteur éminent du renouveau de la pensée libérale au XXe siècle. Il développe avec brio une réflexion originale dans des domaines aussi divers que la psychologie, l’épistémologie, le droit, la philosophie sociale et politique. Sa pensée traque inlassablement les préjugés et les illusions liés à la montée en puissance de l’État interventionniste. S’il existe une préoccupation constante dans l’oeuvre de Hayek, elle est - plus encore que le plaidoyer pour le marché ou la critique du socialisme - d’amener le lecteur à entrevoir cette vérité fondamentale : le libéralisme individualiste constitue le seul humanisme authentique.
Résumé : Après l’analyse des limites du produit intérieur brut (PIB) en tant qu’indicateur de performance des nations, les auteurs présentent de nouveaux indicateurs économiques basés sur le développement humain, la santé sociale, le bien-être économique et le développement durable. Présentation de l’éditeur : La croissance économique, celle du PIB (produit intérieur brut), est aujourd’hui le principal critère de performance des nations, mais c’est aussi un critère de plus en plus contesté. Dans ce livre, les auteurs dressent un bilan de cette contestation, et présentent surtout de nouveaux indicateurs synthétiques, fondés sur des visions alternatives de ce qui fait la «richesse des nations». Ces indicateurs s’intéressent selon les cas au «développement humain», à la «santé sociale» ou au «bien-être économique» d’une collectivité, mais aussi au développement durable. Ils permettent de compléter les indicateurs économiques en tenant compte de richesses oubliées comme celles que produisent le travail bénévole ou le travail domestique, de richesses environnementales sacrifiées, ou encore de critères de cohésion sociale et de pauvreté. Ils pourraient servir de guides à d’autres politiques économiques et sociales. Ce livre a été écrit pour être très largement accessible à des non-spécialistes, tout en fournissant aux lecteurs des encadrés méthodologiques essentiels. Présentation des auteurs : Jean Gadrey, professeur émérite d’économie à l’université Lille-I, est l’auteur d’ouvrages portant sur les services, l’emploi et la mesure des performances économiques et sociales. Florence Jany-Catrice, maître de conférences en économie à l’université Lille-I, est une spécialiste des comparaisons internationales portant sur l’emploi tertiaire, l’emploi non qualifié dans les services et les indicateurs sociaux.
Résumé : Cet ouvrage aborde successivement les fondements de la pensée économique, les grandes fonctions économiques (production et échange, répartition, consommation et épargne), la monnaie et le financement de l’économie, les relations économiques internationales, la croissance économique. Présentation de l’éditeur : Les principes économiques fondamentaux sont les outils indispensables à l’acquisition d’une formation économique. Le contenu de l’ouvrage, fidèle au programme officiel du DPECF (UV 2), convient également parfaitement aux étudiants en BTS et IUT des filières tertiaires (comptabilité, commerce et administration) et aux élèves des écoles de commerce. L’ouvrage présente les principales théories économiques et leurs auteurs mais propose également une approche descriptive de l’économie permettant de mieux appréhender un aspect essentiel de nos sociétés modernes. La maîtrise des grands mécanismes économiques est désormais un pilier de la culture générale. Ce livre permettra à tous ceux qui souhaitent découvrir ou approfondir leurs connaissances économiques de satisfaire leur curiosité.
Résumé : Le point sur la théorie économique à travers des notions comme l’espérance de vie, la gratuité, l’écologie ou la religion. Présentation de l’éditeur : Le premier tome de cet Antimanuel racontait la rareté, l’offre, la demande, la concurrence, le commerce, l’argent… C’était le tome des fourmis : raisonneuses, rationnelles, égoïstes, épargnantes, bref, calculatrices. Le lecteur découvrait, un peu étonné, que la compétition n’était pas le vrai moteur des échanges et qu’elle laissait souvent la place aux phénomènes de pouvoir, de mimétisme et de foule. Voici venue la revanche des cigales ! Et si l’inutile, la gratuité, le don, l’insouciance, le plaisir, la recherche désintéressée, la poésie, la création hasardeuse engendraient de la valeur ? Et si les marchands dépendaient - ô combien ! - des poètes ? Et si la fourmi n’était rien sans la cigale ? Voici venu le temps d’affirmer, contre les économistes, que l’inutile crée de l’utilité, que la gratuité crée de la richesse, que l’intérêt ne peut exister sans le désintéressement. On verra que ce livre ne dédaigne en rien les marchands. Mais pourquoi sont-ils devenus la classe dominante ? Pourquoi sommes-nous sortis de ces sociétés de chasseurs-cueilleurs, qui «marchaient dans la beauté», comme le chantent certaines tribus ? Nous sommes passés du côté de l’utile et du laid. Et en même temps, le capitalisme fait partie de notre vie, tout simplement, et ne mérite pas d’être méprisé, sauf à mépriser la vie. Si l’on veut approcher l’essence du capitalisme, il faut sortir des sentiers de l’économie et musarder avec l’histoire, l’anthropologie et la psychologie. Ce second tome se situe aux frontières ou au-delà de l’économie. Présentation de l’auteur : Bernard Maris a publié de nombreux ouvrages d’économie, ainsi que des romans - Le Journal, L’Enfant qui voulait être muet (Prix Leclerc des libraires en 2003). Professeur d’université en France et aux États-Unis, il anime la page économie de Charlie-Hebdo, sous le nom d’Oncle Bernard. Doté en 1995 du titre de «meilleur économiste», connu par des ouvrages comme Lettre ouverte aux gourous de l’économie qui nous prennent pour des imbéciles, Ah Dieu ! Que la Guerre économique est jolie ! ou encore La Bourse ou la vie, l’économie qu’il révèle et que nous vivons nous permet de réfléchir à un au-delà de «l’horreur économique».
Résumé : Avec l’ordinateur, l’information remplace l’énergie comme moteur de développement. Une nouvelle économie se met en place, alors que les politiques persistent à croire en l’irréversibilité et l’universalité du seul système libéral. Analyse de cette mutation, de ses conséquences économiques, sociales, environnementales et humaines. Pourquoi est-il urgent de changer d’organisation ?
Résumé : Pour financer les déficits budgétaires croissants, les Etats modernes ont confisqué la monnaie. Mises, Rueff et Hayek ont, au contraire, tracé la voie d’un retour à une discipline monétaire rigoureuse. Une réhabilitation de l’analyse de ces trois économistes.
Résumé : En 1998, le prix Nobel d’économie a, pour la première fois, été attribué à un économiste indien, spécialiste des questions de développement. Difficile à classer idéologiquement, ses travaux questionnent les rapports entre l’éthique et le raisonnement économique, entre la liberté individuelle et l’égalité sociale et entre la démocratie et le développement économique. Présentation de l’éditeur : En octobre 1988, le prix Nobel d’économie a, pour la première fois, été attribué à un économiste issu du tiers monde et spécialiste internationalement reconnu des questions de développement. Encore mal connu du grand public, Amartya Sen est un économiste inclassable. Philosophe et, par-dessus tout, humaniste, il s’est efforcé de montrer que l’analyse économique traditionnelle était incapable de penser la diversité des comportements humains et qu’il était nécessaire d’y introduire des considérations politiques, sociales et, surtout, éthiques. Ses travaux sur la famine et la grande pauvreté l’ont ainsi conduit à s’interroger sur le rapport entre liberté individuelle et égalité sociale, entre démocratie et développement économiques ainsi que sur le rôle de l’État dans la redistribution des richesses. Les deux textes rassemblés dans ce livre constituent une introduction à l’?uvre d’Amartya Sen. Le lecteur y découvrira une réflexion vive et stimulante, nourrie d’expériences personnelles et d;exemples concrets, d’un économiste atypique qui, sans cesse, nous rappelle que l’économie est avant tout au service du bien-être de tous. « Un petit livre à lire pour se souvenir que l’économie est une science humaine à part entière. » LE NOUVEL ÉCONOMISTE « Accessible au non-spécialiste, cet essai constitue une bonne introduction à la pensée du prix Nobel d’économie 1988.» LE MONDE. Présentation de l’auteur : Amartya Sen est né en 1933 à Santiniketan, au Bengale. Professeur à Calcutta à l’âge de 23 ans, puis à Cambridge, à New Delhi, à la London School of Economics et à Oxford, il enseigne l’économie et la philosophie à Harvard depuis 1987. Il est également, depuis 1988, recteur du Trinity College de Cambridge.
Résumé : En soutenant que l’économie se rapporte aux fins humaines, l’auteur restaure la possibilité d’une compréhension des réalités économiques les plus graves de l’époque actuelle (la famine, l’aggravation des inégalités qu’entraîne parfois le développement…) en des termes qui sont ceux des délibérations morales de chacun. Présentation de l’éditeur : L’œuvre d’Amartya Sen, prix Nobel d’économie en 1998, a profondément contribué à renouveler les enjeux de la discipline économique. La critique d’un modèle trop abstrait de l’homo œconomicus a conduit à défendre une conception de l’agent économique qui inclut au nombre des motifs d’action non seulement préférences et intérêts mais aussi évaluations morales et affectivité. Ethique et économie est l’exposé le plus complet et le plus accessible de sa pensée. Les analyses consacrées aux notions de «niveau de vie» ou de «distribution juste» témoignent de son exigence d’inscrire les critères éthiques au cœur de l’analyse économique. Plusieurs des autres essais traduits dans ce recueil ont également ouvert de nouvelles perspectives aux recherches qui portent sur les causes de la famine ou sur l’inégalité sociale entre les sexes. En soutenant, comme Aristote le faisait déjà, que l’économie se rapporte aux fins humaines, Amartya Sen restaure la possibilité d’une compréhension des réalités économiques les plus graves de notre temps (la famine, l’écart croissant entre pays développés et pays non développés ou l’aggravation des inégalités qu’entraîne parfois le développement) en des termes qui sont ceux de nos délibérations morales. |
Auteurs et manuels d’économie